Hihi pour ce deuxième tour d’interview, j’ai proposé à Elise Picker de répondre à nos questions.
Oui oui, c’est bien Elise qui me donne un coup de main sur la page et d’ailleurs un grand merci à toi pour ton aide. La chose marrante, c’est qu’elle va répondre à certaines questions qu’elle a elle-même préparée pour les futures interviews…
Vous êtes prêts ? Alors, On y va…
Si tu aurais aimé écrire le livre d’un de tes camarades auteurs, ça aurait été lequel ?
Alors en fait, ce ne serait pas une romance mais une dystopie: La Ballade de Lila K, de Blandine Le Callet. Ce livre m’a retournée et surtout, tout au long de la lecture je me disais “ Waow, mais j’aurais trop aimé écrire/ trouver ça moi-même !”
Si tu pouvais réaliser 3 voeux ça serait lesquels ?
Le premier : quitter mon job et vivre de mes écrits ( même si j’adore bosser dans le social, après 15 ans et ayant touché du doigt le métier d’auteur, je me dis que ça correspond vraiment à ce que je veux faire, à cette période de ma vie). Le deuxième : voyager plus en famille et en amoureux. Le dernier : la santé pour tous mes proches.
Peux-tu nous parler de tes projets en cours ou à venir ?
Je suis en train d’apporter la touche finale à un recueil d’histoires courtes romance et chicklit, ambiance Noël. Il sortira en auto-édition à la fin de l’année. Ensuite j’hésite entre partir sur un nouveau projet ou reprendre la dystopie dont le début est posté sur Wattpad depuis… euh trop longtemps !
Écris-tu sous un nom de plume ? Pour quelle raison ?
Oui, j’ai préféré prendre un pseudo, parce qu’au début je n’avais pas parlé de mes activités d’écriture à mes proches. Et surtout pour différencier mes deux mondes professionnels.
Que ressens-tu lorsque tu écris le mot fin ?
Généralement, j’ai du mal à réaliser: je ressens un drôle de mélange entre incrédulité, excitation et anticipation du manque. Quand je termine un récit qui a pris beaucoup de place dans ma vie, cela crée toujours un vide.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le fait d’écrire ?
La sensation de liberté, la création, l’imagination qui n’a pas de frontière: tout est possible.
Y a-t-il une citation qui t’inspire ?
“On ne va jamais aussi loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va” ( Christophe Colomb, il me semble )
Es-tu présente sur les réseaux sociaux ? Qu’est-ce que cela t’apporte ?
Oui, je suis essentiellement sur Facebook et Instagram. Cela me permet d’être en contact direct avec des lecteurs, des auteurs. J’adore ces échanges. Il y a de l’entraide, des rires. Il se crée de vrais relations, avec des amitiés plus que virtuelles. Par contre, je n’apprécie pas les faiseurs d’histoires et je préfère en rester éloigner. Pour moi, tout cela doit rester avant tout un plaisir dans une bonne ambiance.
La fin de notre interview approche, voici nos deux questions perpétuelles :
Si tu étais “SuperWritor”, quel serait ton pouvoir ?
Hihi, mon super pouvoir, ce serait de pouvoir écrire en toute circonstance, juste par la force de la pensée, sans stylo ni ordinateur !
Et enfin pour conclure,
Un petit mot pour tes lecteurs ?
Merci d’être au rendez-vous, merci pour vos retours qui me motivent et qui aident toujours un auteur à se faire connaître de nouveaux lecteurs. J’ai hâte de vous rencontrer lors des séances de dédicace, notamment à Mons le 25 novembre !
En attendant de retrouver Elise Picker le 25 novembre prochain au salon de Mons (Belgique), n’hésitez pas à la suivre sur sa page facebook : https://www.facebook.com/ElisePickerOfficiel/